[... Extrait de l'article ...] Toutes les pistes continuent d'être explorées. Parmi elles, celle du mélange entre le nitrate d'ammonium et des pastilles de chlore, dont « La Dépêche du Midi » avait révélé la présence dès le 17 octobre, dans le hangar 221 où s'est produite l'explosion. UNE BENNE DEVERSEE Une demi-heure avant la déflagration, une benne, contenant probablement du chlore, avait été déversée dans le sas d'entrée du bâtiment 211 par un salarié d'une entreprise sous-traitante d'AZF (1). En tous cas, cette benne a été chargée dans un bâtiment, situé au sud-ouest de l'usine, où des pastilles de chlore étaient entreposées. Or, des expériences menées par les experts ont démontré que le mélange d'ammonitrate et de chlore est particulièrement explosif. Le mécanisme d [...]
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